Des mots pour dire

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Nous avons dû prendre du recul par rapport à l’emprise psycho-spirituelle qui a touché nos familles de plein fouet et ce afin de pouvoir analyser objectivement ce phénomène qui nous a agressés sournoisement, sans que nous n’en comprenions ni la raison ni le but. Nous étions anéantis devant le désastre qui s’étalait sous nos yeux effarés.

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Les mots de l’horreur 

Qui, comment et pourquoi  peut concevoir une attaque aussi bien dirigée, et d’une telle violence contre une famille ? Notre travail en donne la réponse. Les documents ont été remis à l’épiscopat. Ils sont irréfutables. Les mots sont posés et mesurés. Les responsables ecclésiaux n’en sont nullement perturbés. Un travail intellectuel, aussi indispensable soit-il, peut aussi offrir une porte de sortie pour fuir les situations concrètes. Les concepts peuvent être utilisés par ceux qui se défaussent, pour éviter la réalité qu’ils cachent. Nous avons posé des mots sur l’horreur. Nous sommes sûrs en nous référant aux courriers échangés que les mots ont été bien compris. Nous sommes certains que l’horreur a été soigneusement éludée.

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L’horreur des mots

Il faut donc maintenant mettre au grand jour l’horreur cachée derrière les mots. La pire de toutes reste nos enfants livrés à des loups déguisés en agneaux. Une violence qui sévit dans notre Eglise où ces prédateurs sont protégés. Nous ne pouvons tout dire des actes de cruauté morale et mentale que nos enfants et nous subissons. Leur violence en est insoutenable. Beaucoup de documents, sur ce site vous en donneront un aperçu concret.

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La violence

Certains de nos lecteurs, en découvrant nos écrits peuvent en juger les mots agressifs. Qu’ils ne se trompent pas, les mots sont justes, ils ne font que traduire concrètement la violence de l’emprise psycho-spirituelle et de ses doctrinaires. Une emprise perverse, inhumaine.   

L’hypocrisie de l’épiscopat, sous couvert de saintes prières et de bonnes intentions, qui nous sont envoyés comme des hochets vides, est une autre violence. Ce n’est pas une nouveauté comme le démontre les scandales de pédophilie. Y a-t-il pire violence que celle là ?

Les discours de charité,  l’année de la miséricorde, et la dernière trouvaille le « chemin de consolation » etc., sont  dans ce contexte délétère des chemins trompeurs. Les messes de repentance, quant à elles sont une autre forme de violence. Inqualifiable. Celle de la toute puissance de responsables ecclésiaux qui s’auto-pardonnent.

 

Parce que nous rejetons cette violence meurtrière que nous dénonçons, les mots sont nos seules armes.   

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