La façade de l’Église se fissure de partout, laissant apparaître des dérives de toutes sortes : pédophilie, dérives sectaires, manipulations mentales familles détruites, etc. qui font la une des médias, et sont de ce fait dévoilées. En voyant l’horreur des faits, on peut aisément en constater la violence subie par les victimes, mais il y a une autre violence subie, la double peine, cachée celle là, c’est la violence du déni de l’épiscopat.
Qu’en est-il de cette violence dans l’Église ?
1) La violence subie par les victimes directes :
– Mise sous emprise de jeunes, sujétion, pédophilie, utilisés par les ecclésiastiques pour assouvir leurs sexualités pathologiques. Une violence mortifère. Des actes qui seraient encore cachés si les victimes passées par ces calvaires, n’avaient eu un jour la force et le courage de parler. Les entortillements de certains ecclésiastiques qui se défilent de leurs responsabilités alors qu’ils savaient et n’ont rien dit, est une autre violence qui s’ajoute.
L’Église face aux scandales pédophiles
– Dans les communautés déviantes, manipulations mentales, mise sous emprise en vue d’utilisation de personnes par des gourous pour leur seul profit. Le but étant l’asservissement et l’argent. Souvent des affaires de mœurs. Une violence destructrice faite au quotidien en plongeant les jeunes dans l’idéologie psycho-spirituelle qui grille la mémoire pour fabriquer de faux souvenirs.
Des actes qui seraient eux aussi cachés derrière la façade bien entretenue de ces communautés par leurs évêques « protecteurs », si des parents ne les avaient dénoncés et mis au grand jour.
Ce qu’il n’empêche que pour les responsables ecclésiaux jusqu’à Rome, leur seul souci : tout mettre en œuvre pour « faire redémarrer » c’est-à-dire garder ces communautés déviantes soi-disant assainies. Quelques gourous trop sulfureux sont sanctionnés à grand renfort d’articles dans les journaux pour faire croire que le problème est réglé et parfois, en laissant sous entendre qu’il vient des victimes… Un bricolage certes bien monté mais de piètre figure devant la face cachée : les victimes jamais prises en compte qui doivent en prime subir ce déni ! Une autre violence, cette fois celle de l’épiscopat !! C’est dire sa solidarité avec ce mal subi par des personnes. Un déni qui a l’art et la manière de tromper ceux qui ne demandent qu’à y croire. Voir les analyses :
Les sessions de guérison ravalent leurs façade et change de nom
2) La violence subie par le jeune et sa famille
La violence de l’emprise psycho-spirituelle se fait derrière une façade de communautés dégoulinantes de douceur, toujours souriantes, des cérémonies religieuses très émotionnelles, des chants « célestes », de « l’amour » à fleur de peau. Cette violence décalée avec cette façade est d’autant plus déstabilisante, sournoise et perverse. Elle détruit des jeunes qu’elle instrumentalise contre leurs parents pour leur faire couper leurs liens familiaux. Ce qui est bien démontrée dans ce document :
La violence du psycho-spirituel
Une personne qui a subit la mise sous emprise par les psychotechniques sectaires du psychospirituel, est emprisonnée dans l’enfermement du psychodrame délirant qu’on lui a implanté en remplacement de son vécu, et de son histoire. Ce lavage de cerveau est d’une extrême violence. Plus la famille est unie, plus la violence sera forte. On ne brise pas des liens aussi forts que des liens familiaux sans détruire irrémédiablement les personnes qui les subissent. Le filet qui s’est abattue sur une famille est une extrême violence dans laquelle le prédateur via le jeune qu’il manipule a emprisonné tous les membres de la famille, jusqu’à la détruire:
Le psychodrame psycho-spirituel : un enfermement à vie.
3) La violence subie par les parents qui dénoncent :
Le seul commandement qu’il ne faut pas transgresser est un nouveau commandement tacite « Tu ne dénonceras pas ». Il faut du courage pour transgresser cet interdit et cela se paye cher ! Les parents qui ont osé l’ont payé très cher !
Ils se sont adressés à l’Église en confiance. Ils ont été roulés ! Pour les décourager, on leur a fait croire qu’on réglait le problème alors qu’on les trompait.
La mystification de l’épiscopat
Leur détermination face à cette scandaleuse mystification, n’a pas été appréciée ! Les gourous alertés sur les risques de leurs actions, ont activé la manipulation pour que le jeune coupe les liens avec ses parents, présentés dangereux pour lui. Des évêques « protecteurs » de ces communautés déviantes sont allés jusqu’à jeter le discrédit sur la santé mentale de ces parents. Cela ne suffisant pas devant des parents toujours coriaces, leurs enfants ont été envoyés à l’étranger sans savoir où… Disparus ! Pendant des années. Pour finaliser, ce sont des murs de silence qui ont été montés autour des familles pour qu’elles ne soient pas entendues.
Violence d’un viol familial, violence de l’emprise d’un gourou, violence des actes mortifères subis, violence de la violence subie par leurs enfants qu’ils retournent contre leurs parents, violence de la disparition de leurs enfants, violence des accusations mensongères et violente du cloaque d’immondice déversé sur leurs familles. :
Cette violence inqualifiable subie par ces parents perdure encore. Imposée par le déni de l’épiscopat, c’est la violence de l’Église.
Seule la vérité faite dans l’Eglise peut endiguer ce fléau et sa violence. Elle n’a pas été faite … Seule la justice rendue aux victimes peut les sauver. Elle leur a été refusée…
Y a-t-il pire violence que celle faite dans l’Église ?
Non, parce qu’elle est faite par des personnes investies au nom de Dieu.
Non, parce que c’est aussi une violence spirituelle qui touche les âmes en même temps que les corps.
Non, parce que ceux qui détruisent des victimes, parlent d’humanité
Non, parce que ceux qui camouflent le mal prêchent l’Évangile
Non, parce que ceux qui mentent parlent de vérité
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